La culture polynésienne ou tahitienne si l’on pouvait le distinguer ainsi au Festival des arts du Pacifique (regroupant polynésiens, mélanésiens et micronésiens) a confirmé sa notoriété et sa richesse auprès de ses voisins, la semaine dernière. Si nos artisans ont attiré le public en journée, les danseurs, danseuses et musiciens étaient véritablement ovationnés en soirée.
Les jeunes artisans en sculpture (Raiarii), gravure (Steeve) et tatouage moderne (Albert) laissaient déjà leurs marques et même leurs créations. Après une semaine d’exposition, le stock est prisé par les acheteurs. Même engouement chez les artisans en vannerie, qui vendaient rapidement leurs tifaifai, colliers en nacre, paniers en paeore, chapeaux en paeore et kere.
La première grande prestation de danse de la troupe Nonahere était, en tout point, un franc succès. En l’espace de quarante minutes, plus de dix mille spectateurs étaient rassemblés dans le village pour réclamer encore plus de spectacle. Et pour cause, chaque tableau était présenté par le chef de groupe qui ne manquait pas d’animer et de raviver l’enthousiasme du public.
Les jeunes artisans en sculpture (Raiarii), gravure (Steeve) et tatouage moderne (Albert) laissaient déjà leurs marques et même leurs créations. Après une semaine d’exposition, le stock est prisé par les acheteurs. Même engouement chez les artisans en vannerie, qui vendaient rapidement leurs tifaifai, colliers en nacre, paniers en paeore, chapeaux en paeore et kere.
La première grande prestation de danse de la troupe Nonahere était, en tout point, un franc succès. En l’espace de quarante minutes, plus de dix mille spectateurs étaient rassemblés dans le village pour réclamer encore plus de spectacle. Et pour cause, chaque tableau était présenté par le chef de groupe qui ne manquait pas d’animer et de raviver l’enthousiasme du public.
